Baky Koné

Rappel du premier message :

L'OM sur Koné

Autre joueur susceptible de rejoindre le club provençal : le Niçois Baky Koné. Selon les informations de L'Equipe, les dirigeants de l'OM seraient prêts à consentir un effort financier pour faire venir l'Ivoirien (13 buts cette saison en L1). Mais Nice aurait fixé la barre à 15 millions d'euros pour son joyau encore sous contrat. Le PSG et Saint-Etienne seraient également intéressés.

Nouvelle offre pour Koné




Nouveau rebondissement dans l'affaire Bakari Koné. Alors que le président marseillais indiquait ce samedi : "J'essaye
de trouver une solution financière avec le président de Nice. Il y a un
périmètre pour s'entendre, on essayera dans les prochains jours à
trouver un terrain d'entente" (voir dépêche), L'Equipe annonce que Pape Diouf
aurait transmis une ultime offre de 8.5M€ assortis d'un million de
bonus. Suffisant pour faire céder l'OGCN ? Rien n'est moins sûr.

Bakari Koné se sent-il déjà Olympien ? Si les discussions entre Nice et l'OM sont au point mort, l'international ivoirien a eu une déclaration surprenante chez nos confrères de Skysport : "C'est un rêve qui se réalise. Je suis vraiment heureux de rejoindre ce club merveilleux." Une façon de mettre un peu plus la pression sur le président niçois Maurice Cohen, lequel reste à ce jour inflexible sur l'indemnité du transfert (12 M€) ?

Hier matin, Koné a arrêté l'entraînement en se plaignant de la cuisse. Plusieurs indiscrétions laissent penser qu'il ne prendra part au stage de l'OGC Nice à partir d'aujourd'hui. Le joueur entend rejoindre l'OM dans les plus brefs délais, si possible pendant le stage à Evian-les-Bains.

Les dirigeants olympiens ont émis une nouvelle offre, hier, en consentant un léger effort. Une proposition à 8,5 M€ assortis de divers intéressements, sur la performance, le classement à la fin de la saison, voire une future revente. Un geste envers Nice pour montrer qu'ils sont prêts à reprendre les discussions, en espérant obtenir une écoute plus attentive.

Koné met la pression sur Cohen

Le 07/07/2008 à 08:35



Bakary Koné avait
été très professionnel en reprenant les premiers entraînements avec
Nice. Mais depuis ce dimanche, la donne a changé puisque le joueur a
refusé de partir en stage à Vichy !

Une attitude que l'on
connaît maintenant bien dans le monde du ballon rond et qui a pour but
de faire craquer ses actuels dirigeants niçois, Maurice Cohen en tête...

Après
une dernière proposition marseillaise (on évoque une somme de 8.5
millions d'euros assortie d'un million de bonus), le conseil
d'administratiton de l'OGCN se réunira ce lundi pour trancher. En cas
de nouveau refus, le transfert de Koné vers l'OM pourrait être
véritablement compromis.

(Photo © Le Phocéen)



Le ton monte à Nice, espérons que cela nous soit favorable !

Cohen : «Koné n'ira pas à Marseille»



Maurice Cohen a annoncé mardi que l'OGC Nice mettait un terme aux négociations avec l'Olympique de Marseille concernant le transfert des Bakari Koné. Alors que l'OM proposait 8,5 millions d'euros plus un million de bonus pour s'attacher les service de l'international ivoirien, le club azuréen a fait contre-proposition de 9 milllions d'euros, plus 1 millions de bonus et 15% à la revente, qui a été refusée par les dirigeants phocéens. Le président de l'OGCN attend désormais son joueur à l'entraînement dès lundi. «S'il n'est pas là, il sera déclaré intransférable», prévient Cohen.

«Maurice Cohen, les négociations avec l'Olympique de Marseille concernant Bakari Koné seraient rompues. Qu'en est-il exactement ?
Effectivement, elles sont rompues, mais on a fait ça gentiment, sans se fâcher. Jusqu'à présent, Marseille était la priorité du joueur, mais je peux vous assurer qu'il n'ira pas là-bas. On a discuté pendant quinze jours et les négociations n'ont pas abouti. Voilà, c'est tout. Il va falloir qu'il trouve un deuxième choix.

Est-ce une manière pour vous de mettre la pression sur l'OM ?
Non pas du tout. Comme je l'ai dit, pour Marseille, c'est terminé. A partir du moment où l'offre marseillaise était la dernière, je vois mal Pape Diouf revenir là-dessus. Après, nous, notre souhait, c'est de le garder une saison supplémentaire, mais si un autre club nous adresse une offre au montant convenu (12 millionsd'euros), il pourra s'en aller. Pour l'instant, on a des discussions avec le Paris-SG mais pas seulement. Il y a d'autres clubs en France et à l'étranger qui s'intéressent à lui. Ça prouve bien que le joueur a une vraie valeur.

Comment jugez-vous l'attitude de votre joueur qui ne s'est pas présenté au stage d'avant saison ?
Irrespectueuse vis-à-vis de ses équipiers. Pour l'instant, il nous a présenté un certificat médical pour justifier son absence. Je l'attends donc à l'entraînement dès lundi. S'il ne s'y rend pas, il n'y aura pas de discussion avec d'autres clubs. Il sera déclaré intransférable et s'exposera à des sanctions.

Avez-vous été surpris qu'il engage ce bras de fer ?
Oui parce que c'est un gentil garçon avec qui on s'est toujours bien entendu. C'est la raison pour laquelle je suis déçu. Son attitude est totalement irrationnelle. Ce n'est pas du Baki. Je ne sais pas s'il est mal conseillé, mais j'espère qu'il va se ressaisir. Quand on a un contrat, il faut le respecter».

bon, on passe la main !

Pape dossier suivant stp !

C'est vraiment dommage, surtout que coach Gerets l'attendait impatiemment !

Le second joureur qu'Eric Gerets attend est Bakari Koné. Un dossier sensible sur lequel l'entraîneur olympien connaît la donne : "J'ai le président tous les jours au téléphone pour faire le point, dit-il. Je discute aussi beaucoup avec José Anigo. Tous les deux savent que j'attends Koné avec impatience."

"Mais je comprends aussi qu'il n'est pas permis d'investir des sommes astronomiques et que le club ne peut pas se permettre de faire n'importe quoi." Il aborde le sujet avec sagesse, tout en espèrant une évolution favorable des négociations.

Koné - Diouf : «Pas de commentaire»

Alors que le président de l'OGC Nice, Maurice Cohen, a annoncé mardi qu'il avait mis un terme aux négociations avec l'Olympique de Marseille concernant le transfert de Bakari Koné, son homologue marseillais, Pape Diouf, s'est, lui, refusé à «mener les négociations en plein air».

«Je refuse systématiquement de mener les négociations en plein air et sur la place publique, a-t-il confié, se refusant à confirmer ou démentir cette rupture. Je n'ai pas de commentaires particuliers à faire sur une affaire dont les éléments sont connus des deux parties. Je comprends tout à fait que Maurice Cohen représente les intérêts d'un groupe d'actionnaires, mais il en est de même pour moi. Je laisse à Maurice, qui fait partie de ces présidents que j'apprécie et qui ont même mon amitié, la responsabilité de ce qu'il a déclaré.»

Baky Koné sort de sa réserve !




Volontairement muet depuis le début de ce que l'on appelle maintenant "le feuilleton Koné", l'attaquant ivoirien Baky Koné est sorti de son silence suite à la décision de Maurice Cohen de rompre les négociations avec l'OM. Sur son site officiel (www.bakykone.free.fr), le joueur a publié son droit de réponse et révélé certaines informations...

Il
raconte ainsi que lors de la prolongation de son contrat en août
dernier (sans laquelle le joueur aurait pu partir sans que le club ne
puisse toucher d'indemnités de transfert, arrêt Webster oblige), les
dirigeants lui avait promis un bon sortie "et que rien ne viendra entraver mon éventuel départ en fin de saison" écrit Baky. Par contre, le montant du bon de sortie n'est pas inscrit : "Le
club souhaitant indiquer une clause d’indemnité de transfert de 8M€,
alors que de notre côté nous estimions que la valeur correspondait plus
à un montant de 6M€. Afin de ne rien bloquer et pour permettre de
continuer dans un bon esprit, nous acceptons d’indiquer sur proposition
du club, que le transfert se négociera à « la valeur du marché ». Cette
phrase qui parait anodine prend actuellement une importance capitale" reconnaît le petit Ivoirien.

Mais quand Baky opte le mois dernier pour l'OM ("Le
projet sportif proposé par l’Olympique de Marseille retient mon
attention. En effet, il correspond après analyse à celui qui me
permettrait le plus de continuer l’ascension sportive commencée depuis
mon arrivée en France"), les dirigeants niçois changent de ton.
Sans concertation avec Baky, ils définissent le fameux montant du bon
de sortie qui bloque depuis les négociations avec l'OM. "Quelle
formule intelligente a été sortie pour définir ma valeur du marché ?
Est-ce un chiffre sorti de nulle part ? Sur quelle référence se
base-t-on ? Est-ce dû à mon choix ? N’apprécie-t-il (à propos de
Maurice Cohen) pas l’Olympique de Marseille ? Aurait-il agi
différemment si j’avais souhaité rejoindre un autre club ?" s'interroge le joueur.

"Après
une entente cordiale pendant trois ans, mon club a une drôle de façon
d’honorer notre contrat écrit et notre contrat moral. Quelle façon de
récompenser tous les efforts consentis depuis que je suis arrivé ici" se désole Baky qui dit vivre "un vrai cauchemar"...

Baky Koné blessé ?

Le 09/07/2008 à 10:14




Alors que "l'affaire Bakari Koné" est à son paroxysme (lire l'article), le joueur a précisé sur son site officiel que sa non participation au stage d'avant saison de l'OGC Nice était due à une "inaptitude médicale". Le joueur a ainsi envoyé au club un certificat médical. "La nature de cette inaptitude ressort du secret médical" indique le site officiel de Koné.

De son côté le président de Nice Maurice Cohen, qui juge cette attitude "irrespectueuse vis-à-vis de ses équipiers" ne semble pas croire à l'explication du joueur. "Pour l'instant, il nous a présenté un certificat médical pour justifier son absence" indique-il sur L'Equipe tout en mettant à nouveau la pression sur le joueur : "Je
l'attends donc à l'entraînement dès lundi. S'il ne s'y rend pas, il n'y
aura pas de discussion avec d'autres clubs. Il sera déclaré
intransférable et s'exposera à des sanctions."

Voici le droit de réponse entier de Baky Koné, publié sur son site officiel...
Très intéressant à lire... en espérant que ça fasse avancer son transfert !

Accusé de tous les maux depuis plusieurs jours et mis au pilori par son club, Baky s’est pourtant mué dans le silence. Il n’imaginait pas rentrer dans un conflit qu’il ne comprenait pas. Ce silence lui a permis par contre d’écouter et d’entendre toute la considération que les gens avaient pour lui. Adulé hier il était désigné par son propre club comme un joueur irrespectueux. Du statut du joueur idéal, en une semaine il devenait le vilain petit canard capricieux. Devant cette situation insupportable ou son propre club réussissait en une seule semaine à détruire son image construite depuis plus de cinq saisons en France, Baky a décidé de s’exprimer pour donner -la version- de ce dossier et non pas la version qui arrange le club.

Droit de réponse de Baky

Devant la lecture de tant d’erreurs voire de mensonges, je me dois de rectifier cette situation.
Jusqu'à aujourd’hui, j’ai fait preuve de patience et de calme pour ne pas rentrer dans un débat que je ne comprenais pas et surtout qui me dépassait. Je ne me suis donc pas encore exprimé sur ma situation concernant cette période de transfert. Ce message comblera ce vide, et il apportera je l’espère un éclairage différent du rôle que l’on m’accorde et surtout de la position que l’on me fait subir en me mettant l’étiquette d’un mauvais garçon.

Quand je dis que je ne comprends pas la situation actuelle, il faut en fait revenir un peu en arrière pour arriver au marché des transferts de la saison dernière. Déjà très sollicité par plusieurs clubs en France ainsi qu’à l’étranger, je souhaite néanmoins poursuivre l’aventure sportive niçoise encore une saison. Le club de l’OGCN est ravi, mais s’inquiète d’un problème qui pourrait survenir au niveau financier. Ils me font part qu’ils souhaitent me faire une prolongation pour éviter un transfert ultérieur sans prime de transfert. En effet, pour le club de Nice, si je reste sans prolongation, avec la clause de stabilité qui permet à un joueur de racheter sa dernière année après une période de trois ans, mon transfert à l’été 2008 serait insignifiant pour le club vendeur.
Comme les relations sont bonnes, nous discutons de cette éventualité entre les différentes parties. Après insistance du club, j’accepte sous conditions la proposition qui m’est faite pour que Nice puisse bénéficier d’une prime de transfert. J’accepte donc la revalorisation salariale qui m’est proposée et nous nous mettons d’accord sur un bon de sortie pour l’été 2008.
Les conditions concernent l’assurance du bon de sortie, et que rien ne viendra entraver mon éventuel départ en fin de saison. Devant nos bonnes relations et rassuré par l’assurance que me donnent les interlocuteurs niçois…, ces données sont inscrites contractuellement et il est établi que j’ai un bon de sortie. Le président m’assure que tout se passera bien. Aucun montant n’est indiqué. La raison est facile a expliquer : nous avions une vision différente du montant à écrire. Le club souhaitant indiquer une clause d’indemnité de transfert de 8M€, alors que de notre côté nous estimions que la valeur correspondait plus à un montant de 6M€. Afin de ne rien bloquer et pour permettre de continuer dans un bon esprit, nous acceptons d’indiquer sur proposition du club, que le transfert se négociera à « la valeur du marché ». Cette phrase qui parait anodine prend actuellement une importance capitale, j’y reviendrai.

La fin de saison terminée, avant mon départ pour la Côte d’Ivoire, les dirigeants me demandent de quoi sera faite la saison prochaine. Je leur réponds tout simplement que je n’ai pas encore arrêté ma décision, tout simplement parce que je ne voulais pas parler transfert en cours de saison. Celle-ci terminée, je vais prendre connaissance des propositions qui me sont faîtes et qu’en fonction de celles-ci je les informerais de ma décision de rester à Nice ou de partir ailleurs.
Le projet sportif proposé par l’Olympique de Marseille retient mon attention. En effet, il correspond après analyse à celui qui me permettrait le plus de continuer l’ascension sportive commencée depuis mon arrivée en France.
De façon tout a fait normale, Marseille rentre en contact avec les Niçois et font part de leur intérêt de me recruter. Et c’est là que commence un feuilleton que je ne comprends plus. Le dialogue avec le Président niçois est quasi inexistant d’une part et ne rentre plus du tout en phase avec le contrat que nous avons signé.
Entre un contrat signé par les deux parties et son interprétation et son exploitation par une seule partie, je ne reconnais plus mes interlocuteurs. L’importance sur « la valeur du marché » prend ici tout le sens que j’indiquais plus haut. Monsieur Maurice Cohen décide seul de la définition de cette formule. Nous signons un contrat bilatéral et des décisions unilatérales sont prises…Quelle formule intelligente a été sortie pour définir ma valeur du marché ? Est-ce un chiffre sorti de nulle part ? Sur quelle référence se base-t-on ? Toutes ces questions sont sans réponses à ce jour…
Après une entente cordiale pendant trois ans, mon club a une drôle de façon d’honorer notre contrat écrit et notre contrat moral. Quelle façon de récompenser tous les efforts consentis depuis que je suis arrivé ici. Je reçois même actuellement des menaces de sanctions. J’ai l’impression de vivre un mauvais cauchemar. Je me demande en permanence quand le staff niçois que j’ai connu va se réveiller pour reprendre ses esprits et comprendre que si quelqu’un a fait fausse route, il faudrait qu’ils regardent celle qu’ils empreintent et qui ne correspond pas à la feuille de route que nous avions écrite ensemble.
Parmi les menaces de sanctions, on me parle de sanctions financières. Déjà sans qu’on m’en ait donné le motif, et de plus comme ci cet élément était un moyen de pression sur ma personne. Ma carrière a toujours été guidée par des choix sportifs et non financiers, sinon cela ferait longtemps que j’aurais quitté le championnat français. De plus le merveilleux pays duquel je viens, la Côte d’Ivoire, m’a appris à vivre avec très peu de choses et malgré le changement de situation que j’ai connue ces dernières années, je n’ai perdu ni ma simplicité ni mes valeurs humaines. Il serait temps pour certaines personnes de faire ressortir les leurs.

Par cette intervention, je voulais donc faire part de ma position à ce jour et rétablir des contres vérités. Je déplore la situation que m’impose actuellement mon club et je ne comprends pas leur façon de procéder en me mettant dans la position du « bad boy ». Est-ce dû à mon choix ? N’apprécie-t-il pas l’Olympique de Marseille ? Aurait-il agi différemment si j’avais souhaité rejoindre un autre club ?
Après on viendra dire que seul l’argent guide le footballeur…moi je fais un choix sportif, alors que Nice arrête de se croire en bourse avec ma personne…que le club respecte le contrat que nous avons signé l’année dernière, que l’on se souhaite bonne chance pour nos aventures respectives que tout se finisse sur des valeurs humaines autres que celles mises en place actuellement par le club. Actuellement je ne m’imagine plus jouer pour les dirigeants d’un club, qui m’ont menti et qui donnent une image irréelle de ma personne.

J’espère que ces éléments permettront aux lecteurs de comprendre que je n’ai pas changé subitement en une journée…et qu’il est facile pour le club de charger l’ensemble des responsabilités sur ma personne. Personnellement j’ai la conscience tranquille. Etant toujours présent, je sais exactement comment se sont passées les choses. Ce soir certaines personnes doivent baisser la tête en marchant, ce qui n’est pas mon cas aujourd’hui.
Je tenais également à indiquer que les accusations, concernant mon entourage qui pourrait paraît-il mal me conseiller, sont déplacées et infondées. J’ai le même entourage depuis plus de trois ans, et pour les contrats précédents Nice ne s’en est jamais plaint. La signature à Nice et l’avenant signé la saison dernière ont été réalisés avec le même agent et tout le monde a apprécié sa façon de travailler.

Si le club mérite respect, que je lui ai toujours donné, je demande au staff niçois qu’il en fasse de même à mon égard. Je pense que ce que j’ai donné à l’OGCN au cours de mes trois saisons méritait une fin autre que celle mise en place actuellement à l’initiative de mon club. Mon amertume est grande et j’espère que l’issue de la situation et le temps m’aideront à oublier cette période noire de ma carrière.


Baky Koné

NDLR : Accessoirement, la non-participation de Baky au stage avec les Aiglons correspond à une inaptitude médicale fournie par un médecin au Club. La nature de cette inaptitude ressort du secret médical.

C'est la saga de l'été !

Koné : Pape Diouf garde espoir

Le 10/07/2008 à 12:41



Dans "l'affaire Baky Koné", Pape Diouf garde
son habituelle sérénité. En effet, alors que Nice affirme que le joueur
n'ira pas à Marseille, que Lyon serait rentré dans la course et aurait
trouvé un accord avec l'OGCN, le président olympien assure au micro de RMC :

"Vous
savez des négociations rompues, reprises, et qui ont finalement
abouties, il y en a eu beaucoup. Dernièrement encore, je lisais que les
négociations entre Grégory Coupet, l’OL et l’Atlético Madrid étaient
rompues… Aujourd’hui, Coupet est bien à Madrid. Il ne faut pas mettre
la charrue avant les bœufs. Il faut attendre."

"J’ai bon espoir que le bon sens finira par l’emporter et qu’on sorte de cette négociation avec quelques satisfactions" a conclu Pape Diouf mercredi soir en marge de la rencontre amicale face à Nantes.

En attendant la suite du feuilleton de l'été "Koné : viendra, viendra pas ?", et comme on parle pas mal de Didier Drogba en ce moment avec le "Drogbathon", je vous met une petite photo des 2 réunis en sélection ivoirienne. La différence de taille m'a surprise et amusée à la fois :

Elle est super la photo. C'est impressionnant cettte différence !!

Oui, c'est rigolo

encore un peu d'espoir !

Koné : Les positions se rapprochent

L'OM et Nice seraient proches d'un accord quant au transfert de Bakari Koné selon plusieurs sources.

Les deux clubs auraient chacun consenti des efforts : l'OM poussant sa proposition à 9 M€ (au lieu de 8,5 M€) + 1 M€ de bonus en cas de qualification du club marseillais en Ligue des Champions ; Nice aurait de son côté accepté de revoir à la baisse le pourcentage (15% au départ) sur l'éventuelle revente du joueur.

Les discussions doivent se poursuivent ce mercredi pour une annonce qui pourrait intervenir dans le courant de la journée.

Accord quasiment trouvé pour Koné

Baky Koné à l'OM c'est comme si c'était fait ! L'AFP nous apprend ce mercredi soir que l'accord est quasiment finalisé entre l'OM et Nice pour le transfert de l'attaquant ivoirien. L'agence cite des sources proches des deux clubs.

Le montant du transfert serait de 9 millions d'euros, plus 1 million d'euros en cas de qualification de l'OM en Ligue des Champions. Koné aurait renoncé à une partie de sa prime de départ et Nice aurait de son côté accepté de ne plus réclamer un pourcentage de 15% sur la future revente du joueur.

L'accord définitif devrait être officialisé dans les heures qui viennent ou dans la journée de jeudi.

Koné à l'OM : à un détail près... ?

L'OM et Nice se seraient mis d'accord mercredi pour le transfert de Baky Koné à Marseille pour un montant de 9 M€ + 1 M€ si l’OM se qualifie pour la Ligue des Champions lors du tour préliminaire en août, le club phocéen aurait fait l'effort d'augmenter sa proposition de 0,5 M€. Nice aurait également consenti de réduire le pourcentage sur la revente de Koné de 15% à 6%.

Baky Koné à Marseille ce jeudi ? Ce n'est pourtant pas encore fait car un détail pourrait prolonger les négociations. En effet, La Provence indique dans son édition du jour que le contrat de l'Ivoirien contient une clause qui stipule que Nice devra reverser 7% du montant du transfert en prime au joueur (environ 630 000 euros). Or, après les efforts consentis, l'OGCN s'opposerait au versement de cette somme prétextant que le joueur s'est mis à la faute en ne se rendant pas au stage de Vichy (Koné avait pourtant fourni un certificat médical). Les deux clubs pourraient couper la poire en deux en partageant la somme due.

Interrogé par Nice Matin, le président de Nice Maurice Cohen a cependant mis un frein aux ardeurs marseillaises : "Rien n'est finalisé ! Les discussions avec les dirigeants de l'OM ont repris. Elles ont été réinitialisées. Mais nous n'avons pas encore trouvé d'accord". Le joueur a quant à lui participé mercredi à la promenade organisée par le staff de l'OGCN dans l'arrière-pays niçois. En attendant de découvrir la région marseillaise ?



on dirait l'affaire Ben Arfa II ! c'est encore avec l'une des clauses qu'il y a un problème !

ACCORD TROUVE ENTRE L’OM ET NICE POUR KONE


Un accord a été trouvé entre l’Olympique de Marseille et l’OGC Nice sur un transfert définitif de Bakari Koné à l’OM. Le joueur ivoirien doit rejoindre prochainement la Commanderie pour passer la visite médicale et signer son contrat.

Tant mieux, il était temps!!

Gerets parle de Koné

http://video.lequipe.fr/video/iLyROoafYQif.html

KONE : «CONTENT D’ETRE LA»

18/07/08 - Koné à l'OM

Baky Koné s’est engagé avec l’OM et nous a livré en exclusivité sa première interview. «Je suis content d’être là et que tout soit terminé» nous a-t-il confié. Il portera le numéro 14. Interview complète à suivre sur OM.net.

Comment doit-on vous appeler, Bakari ou Baky ?
Comme vous voulez, ça ne me dérange pas mais tout le monde m’appelle Baky.

Vous avez signé à l’OM, quels sont vos premiers sentiments sous vos nouvelles couleurs ?
Je suis content d’être là et content que tout soit terminé.

On vous a senti très serein malgré la longueur des négociations concernant votre transfert ?
J’ai toujours été très serein. Quand je dis quelque chose, j’essaye de le respecter jusqu’au bout. J’ai fait ce choix assez rapidement pour ne pas me prendre la tête après et je n’ai pas changé d’avis. Je savais ce que je voulais et c’est ce qui a été fait.

Qu’est-ce qui a fait que votre choix s’est porté sur l’OM ?
Déjà, c’est l’entraîneur et son discours. Pour moi, c’est le plus important. Ensuite, c’est le club lui-même et tout ce qui va avec. Il y a un challenge sportif important, une grosse ambiance… Je sens que dans ce club, on a l’amour du foot. C’est à peu près partout pareil mais à Marseille, c’est vraiment spécial.

On sait que Eric Gerets apprécie beaucoup votre profil, est-ce que c’est quelque chose qui vous a flatté ?
Pour moi, le choix de l’entraîneur est le plus important. Sentir qu’un entraîneur a vraiment besoin de toi, c’est crucial pour un joueur et surtout pour moi. Tous mes choix dans ma carrière ont été basés sur ça.

Avez-vous déjà discuté avec lui et sur la façon dont il veut vous utiliser sur le terrain ?
Ca, c’est lui qui voit. Je crois qu’il m’a beaucoup observé. Il connaît mes qualités et ce sera à lui de faire ses choix.

Avec les joueurs présents au milieu de terrain et en attaque, ça va aller très vite, est-ce que c’est quelque chose qui vous plaît ?
Tout ce que j’aime, c’est être sur le terrain, prendre du plaisir et donner du plaisir. Je sais qu’on a beaucoup de joueur de qualité et on va se baser sur ça pour faire de belles choses cette saison. Je pense qu’il n’y aura pas de souci de complémentarité avec tous ces joueurs.

Quels sont vos souvenirs du Vélodrome ?
Ca m’a toujours fait plaisir de jouer dans un stade rempli. J’ai toujours aimé évoluer dans ce stade et je pense que la motivation viendra toute seule.

Vous sortez d’une grosse saison avec 14 buts, quels sont vos objectifs avec l’OM ?
Essayer de faire pareil sinon plus. J’ai toujours fonctionné comme ça. J’essaierai donc de faire mieux que l’année dernière sinon au moins faire pareil. Je vais tout faire et donner tout ce que j’ai pour pouvoir y arriver.

Vous avez hâte de fouler les pelouses avec l’OM ?
C’est clair.

on sent l'enthousiasme qu'il a en tout cas !